Dieu, l’Eternel, a donné la vie, le souffle, à tous les êtres vivants et a demandé aux hommes de prendre soin avec amour des autres créatures, de tous les éléments de la nature. Aux hommes et aux animaux ont été donnés les végétaux pour nourriture. Mais la caste des prêtres des religions extérieures a exigé le sacrifice animal et a autorisé la consommation de chair animale, signant ainsi l’arrêt de mort de tous ces êtres vivants, de toutes ces créatures de Dieu. Jésus, le Christ, a toujours élevé la voix contre les sacrifices d’animaux et Il voulait mettre fin à la consommation de chair animale comme le rapportent des textes apocryphes, non contenus dans la Bible. Cependant, les églises n’ont pas suivi Jésus de Nazareth mais ont intégré des cultes païens. Elles déclarèrent que les animaux n’ont pas d’âme immortelle, qu’ils ne sont pas doués de raison et qu’ils ne ressentent pas totalement la souffrance. Aujourd’hui encore, dans la législation allemande, entre autres, les animaux sont traités en partie comme des « objets ». Quant à tout le reste de la création de Dieu, il a été considéré par les églises comme totalement dépourvu de vie et, comme les animaux, jeté en pâture à l’avidité sans bornes de l’homme. C’est la guerre menée contre la création de Dieu. Selon les dogmes de l’église en vigueur aujourd’hui encore, les végétariens sont voués aux feux de l’enfer éternel. Dans l’Occident ecclésiastique, le mépris de toute forme de vie non humaine a décuplé à travers l’élevage industriel doublé de ses cruelles usines d’abattage et culmine dans les millions et les millions de tortures atroces faites dans les laboratoires de vivisection, l’empoisonnement, la manipulation et la destruction de la création tout entière, le tout, bien sûr, « au service de l’homme ». Mais l’humanité qui obéit aux religions extérieures ne peut pas gagner la guerre qu’elle mène contre les animaux et les règnes de la nature car la Terre-Mère qui voulait être l’amie de l’homme et en a pourtant été faite l’ennemie, se défend contre cette destruction. Cette ennemie, aucune nation ni alliance de plusieurs nations ne peut la stopper. Que le Vatican exige aujourd’hui un comportement « mesuré » pour que la Terre puisse encore être utile, autrement dit exploitée par les générations à venir, n’y changera rien. Car la loi cosmique qui stipule « Ce que l’homme sème, il le récoltera » s’applique également au comportement cruel de l’homme envers les animaux. Les successeurs du Christ de Dieu respectent la vie dans toutes les formes de vie. Ils considèrent les animaux comme leurs petits frères et sœurs qui ont besoin de leur protection et d’un habitat naturel. Ils ne mangent pas la chair de leurs petits frères et sœurs et aspirent à réaliser la vision du royaume de paix annoncée par Dieu, l’Un universel, à travers le prophète de Dieu, Isaïe : « Le loup habite avec l’agneau, la panthère se couche près du chevreau. Veau et lionceau paissent ensemble, sous la conduite d’un petit garçon. La vache et l’ourse se lient d’amitié, leurs petits sont couchés l’un près de l’autre. Le lion se nourrit d’herbe et de paille. Le nourrisson joue devant le nid de la vipère, l’enfant met sa main dans le trou du serpent. Il ne se fait plus aucun mal sur toute ma montagne sainte. »